3.31.2011

Baisodromique.


Une belle femme comme toi est une rivière qui ne doit jamais se tarir...je serais la source de tes plaisirs et de ton attitude, le grand maitre des monts de ce cours d'eau qui coulera entre tes jambes !
La vie est si belle que le jeu de mes mots sera la peau de mon corps contre le tiens, une ombre de douceurs et de ma parole tu sentiras les vents de mes amours pour t'embrasser le long du sentier qui nous guide dans notre ébat.
Les mouvements seront les amours que nous portons du notre, dans le méandre de toute notre copulation vers le but ultime de notre enfant ainsi créé de notre amour si tendre, où mes caresses se feront les plus précises et où nous dessinerons le ciel de notre sensibilité à ce moment précis, où je pénètrerais ton sanctuaire pour te faire l'amour.
Oh! Ma femme, tu seras, et tu seras mienne tout le long et je serais ton instrument des plaisirs de ta chair, aussi longtemps que nous nous aimerons seuls tous les deux cette nuit là.
Cette nuit là, où la lune de mes exercices passés s'est formée, mais deviendra la boule que l'on connait car tu pensais à m'aimer aussi, alors que je m'abandonne à ton sein que je vois là tout rond et ferme, et ton vagin humide déjà sera la coupe de mon Graal, pour que je vive à tes côtés le restant de mes jours à te faire l'amour, te prendre comme un amant fou et secouer tes seins durant jusqu'à t'exciter encore plus.
J'ai peur de me perdre dans les folies qui m'ont séquestré durant tout ce temps pour m'empêcher de te voir ainsi nue devant moi, prête à tout pour que j'éjacule à l'intérieur de ton âme, une onde de bonheur et de chaleur de tout le plaisir que tu auras su me donner de vivre encore un instant avec toi, ma montagne sera la plus chaleureuse à t'acceuillir nue prostrée devant sa force et sa grandeur...
Ma sphère, mon amour, éternel, et suave, le mélange de notre excellence réservée, à chacun de nous suivre dans notre éjaculation de toute notre âme ici bas, où je prolifère de t'aimer. Je suis dieu-pharaon, et je n'ai rien à ajouter à ce que j'abandonne pour toi aujourd'hui et demain, pour le meilleur de nous dans un bruit d'eau et de frottements de chairs, où je récite le poême le plus éloquant de ma grosse verge à l'intérieur de ton vagin.
Comme il m'est difficile d'écrire ce que j'oublie pour toi, mon dernier espoir de vivre sur cette Terre, encore heureux et joyeux de jouir en ton sein.
Demain peut-être, je prendrais les chemins de l'oubli, dépêchons-nous de nous embrasser, et déshabilles-toi pour que tu sois nue encore et que je m'essayes à te faire jouir, car demain peut-être je m'oublierai à cette marche que nous faisons tous les jours devant la porte de nos âmes.
Aussi, quand je rentrerai de ma rencontre avec le soleil, ce jour là, je pense que je n'aurais de foi qu'en tes yeux pour me guider à nouveau dans le labyrinthe de notre compassion l'un pour l'autre, et mon besoin, ne se fera pas sentir, c'est ton envie qui me prendra dans ses bras, pour que je te refasse l'amour après juste un détail de bonheur, soit cette femme qui m'attend depuis toujours nue et mouillée en pensant à moi, et que ta vie ne soit que les orgasmes de mon esprit sur le tien, que tu ne cesses d'être humide, et que ta petite souffrance de jouir tout le temps de notre amour, soit aussi une joie, et un bonheur, nous oublierons aucun de ces instants et le jour de ma mort au soleil des plus brillants, nous pourrons nous rappeller tous les deux, le temps que nous avons passé à mouiller tous les deux, de l'eau que je servais à ton plaisir, de l'eau que je donnais à tes joies, de bonheur et de sentiments irraisonnables de vouloir m'abuser jusqu'à la fin pour humecter cette odeur de ton intérieur, pour ne plus dire que les onomatopés du plaisir, et de l'amour, jusqu'à la fin.
De l'immensité de l'océan tu seras l'onde de la goutte de sécrétions de ton sexe en me voyant aussi nue, le sexe droit et fier de se montrer à toi, femme, oh! ma femme nue ainsi, m'attendant, n'attendant plus que ma verge à l'intérieur d'elle pour une extase du commencement, ma lente pénétration, et une lévitation de tous les sens jusqu'à l'orgueil de ton être qui ne sera jamais qu'orgasmes que je provoquerai de mon sexe épais et tendre.
Des monts, le mien te sera favorable et tu t'abriteras dans mon coeur le plus clair du temps pour ne plus jouir qu'en pensant à moi le restant de tes jours après ma mort, ton esprit éloquent et libéré des impudeurs se fera mien pour ne souffrir que de mon absence le long de la route qui te guideras jusqu'à ta fin, peut être sera-t-elle aussi ta nourriture pour jouir de ce qui est en ma possession des quêtes sexuelles que j'ai déjà vaincues.
A moi de t'avoir guidé jusque là où tu profiteras de toute mon essence de vie, jusqu'à me tuer ainsi.
Et me voir encore nu devant toi encore un jour ainsi fait pour toi, de mon royaume ici bas que tu sois aussi mienne comme celles là qui n'espèrent que de me voir ainsi t'offrant la vérité aussi verte que l'herbe de notre jardin secret, dans cette histoire qui ne finira jamais.
Et encore le va et vient de mon sexe dans ton vagin.
Et encore tes sécrétions abondantes coulent le navire des haines et des vengeances, dans la turpitude des agresseurs, ceux là même qui t'aurais fait souffrir pour entendre les mots que tu prononces pour moi, Oh! Oma, guides-moi encore de ta splendeur pour faire naitre cette femme encore une fois de mon gros sexe épais parsemé de grains de beauté, pour le meilleur d'elle et sa foi en moi.
Et encore le va et vient de mon sexe dans ton vagin.
Et de là, nous n'avons plus qu'à jouir tous les deux, mes forces ont duré plus d'une journée à te faire l'amour femme, soit ma femme, et pour toujours encore une fois, maintenant !