3.01.2011

Le Roi.

Il baisota sa main en train de se toucher le clitoris. Il l'a baisota tellement que ses dents s'entrechoquèrent avec les doigts, et c'est alors qu'elle lui dit: "ne me touche pas!" alors il se retira et la regarda, et elle finit par jouir de quelques manières avant de se mettre à plat ventre pour dire : "prend moi par le cul!". Ce qu'il fit sans problème avec sa petite bite, ça coulissait à peu près.
Pendant ce temps là, le Roi sortait son gros pénis de son pantalon, et en érection, commença à le remuer dans le vagin de sa Reine. Précisément, les orgasmes de la Reine se faisait entendre au délà de la pièce où ils étaient et c'est ce qui avait incité la gueuse nymphomane à se faire prendre par l'arrière, une histoire sans fin ou presque quand son gueux éjacula alors qu'elle n'eut rien senti ou presque, elle se demanda : "ai-je un si gros anus que ça ?"
Elle n'avait jamais vu un vrai sexe d'homme.
Alors elle se remit à se toucher, elle s'excita tellement que son gueux s'énerva : " si c'est comme ça, je m'en va !" dit-il. Et sortit de la pièce. La gueuse en profita pour se boucher tous les trous, en se masturbant vigoureusement. Cela dura une heure, elle jouissait et éjaculait ce qu'elle pouvait par petits jets, et se demanda encore si quelqu'un pouvait l'assumer, s'enfonca la main dans le vagin en s'exitant l'anus de ses doigts encore libres. Une heure passa donc, et elle se leva, s'habilla sans dire un mot, et se dirigea vers la cuisine où elle mangeea un gros morceau de saussisse avec du pain.
Le Roi était déçu, il avait été dérangé pendant son coit, il s'en rendait compte. La Reine lui expliqua qu'il devait s'agir d'une courtisane qui le tracassait, mais il lui répondit que c'était plus grave : "une gueuse!". Cela annonçait famine.