10.21.2009

Insultes.


Comme disait le canard, que nous avons tous rencontré dans ce pré où les mauvaises odeurs nous enivraient des défécations d'animaux, si je puis dire ainsi, n'est-ce pas, de savoir que de tel animaux existent, je vois que vous vous souvenez qu'à peines, que ce canard là, nous parlait haut et fort, ou alors l'avez vous oublié car je me souviens que vous préfériez lire autre chose que des défécations...

Ce canard, dis-je, vous a parlé, je vous l'assure, et d'un ton plus hautain encore, je vous le rappelle, et ce qu'il disait, je ne m'en souviens plus, c'est une insulte, sachez que je me souviendrais de vous avoir aussi rencontré ce jour-là, et que jamais nous ne serons amis; d'une part à cause de l'odeur, d'autre part, il s'agit d'hygiène, un mot bien complexe, pour entendre encore aboyer des chiens et voir des oiseaux crier au loup...
Ce canard était-il extraterrestre ? Peut-être venait-il d'un planète plus sale encore que ce que j'ai cru voir ailleurs, car, et je suis obligé de le préciser, je n'ai pas écouté ce qu'il me disait. Peut-être en avez-vous souvenir plus que moi.
Aussi, en partant, je n'oublierai jamais votre seul et unique et incroyable désespoir d'avoir perdu un ami fidèle, car le chien s'est fait écrasé.

Alors nous sommes partis moi et ma main, parce que des baffes qui se perdent, je n'oublie aucun de mes gestes par la suite, aucun ressentiment peut-être, mais juste l'envie d'écrire encore qu'un chien écrasé, ben, c'est pas beau à voir. Encore mille merci, de vous êtes cru en rally course automobile sans porter de gants...
Bien entendu ma bicyclette, je ne l'utilise plus depuis plusieurs décénies, j'ai grandi entre-temps, par la seule force des choses, par ma seule destinée, par mon envie de voir plus haut peut-être, et de concevoir qu'un canard, ben ça ne parle qu'aux cochons.....
Alors ici où là, peu importe quel que fût ce canard, il n'était pas capable de faire autre chose que coin-coin, et je ne me vexerais même pas dans ce cas là, de vous savoir promptus à vos habitudes.

Alors cet autre jour, je pris ma plume, celle qui me fît grâce, car de mémoire, nous n'avons perdu qu'un nom entre-temps, qu'un propre de l'âme, ne serait-ce qu'une chose qui vous est étrangère, ne vous en souciez pas, il de conventions, de conceptions, d'études de savoir de quoi je parle ici, de ma plume. Cet autre oiseau, par contre, ne fût qu'impressionné par ce qu'il voyait, et je me dis, qu'il fallait trouver un mot; à charge de vous éduquez, je vous rappelle mon idée exacte, de ne pas faire de cadavre d'une simple croyance qu'on ait pu jusqu'à même apprécier que vous vous mettiez autant à me singer comme des bonobos poilus, et aux gros yeux en voyant toute cette lumière qui l'enveloppait. Cette plume, donc, est un symbole vide, une bulle spatio-temporelle de ma conception, un état propre, une hygiène d'une force qui dépasse votre entendement, si puisse-t-il être de considération d'annoter un mot à une chose qui vous est autant étrangère : La Force.
Celle-ci voit, celle-ci entend tout ce que vous faites, mais n'a pas d'yeux, n'a pas d'oreilles...
Alors, c'est l'embaumement dont je discute là, une manière de parfumer tout un appartement 4 pièces d'un simple french-kiss...
Mieux qu'un canard, gavé, engrossé, n'est-ce pas, pour des fêtes que vous ne vous souvenez plus non plus, car vous les avez oublié dans ce pré; le pré dont je discute plus haut. Aussi, nous avons la compétence, plus qu'évidente dans ce monde là, de vous voir ainsi, vous mettre dans tous les états, tout et n'importe quoi, n'importe qui et n'importe quand, même en public pour 1 Euro, assis sous une forme au rabais de concevoir une chose aussi dégueulasse que tout ce que vous avez pu faire jusque là; faire sentir votre odeur.

Il vient de vigueur, disais-je, de directoire, de vous avoir autorisé à vous montré tel que des défécations puissent aussi fumer, autant que ma personne, n'est-il pas ?
Aussi, avec encouragements disiez-vous, nous portions là, le point essentiel de ce traité d'insultes communes, car vient maintenant, le goût...
Des fleuves tranquilles aux abords d'une cité, ce que vous aviez oublié de préciser, est qu'un poltergeist de l'ordre de celui prédisposé par une insulte de votre part à vouloir ainsi me lire ou me voir écrire même pour espérer être aussi rigoureux dans votre action que je puisse pâtir d'autant d'obligation et de complicités à empêcher certaines de vous voir haineux, et jurer à tous les dieux que vous vouliez vous venger autant que puisse la mère la plus belle qui puisse avoir été de m'aimer autant, que j'use à nouveau d'une parabole pour vous expliquer le mouvement prédisposé à se déplacer entre-temps, jusqu'à vous rappeller ici, ce qu'elles ont senties de vous...Une odeur de merde. Alors, de jurons en jurons, de mensonges en mensonges, d'abrutissements en abrutissements, il ne reste qu'une gueule béante, énorme, celle qui vous porte encore, jusqu'à mes lignes impies de mauvaises odeurs, disiez-vous, que vous n'avez pourtant pas non plus senties, comme à l'époque dans dans vos couches ou devant des outils médiatiques vous vous pavaniez tout fier de vos disposition à vous agiter autant que mes doigts pour écrire un mot ou deux : le goût ?
Pour expliquer une telle chose, il faut d'abord concevoir, la respiration. On aspire de l'air, et on expire par la suite des gaz; chose essentielles, entre temps, vous pouvez parfois vous octroyer, même après avoir su ce qui était de bonnes odeurs, je vous l'ai expliqué, et de mauvaises odeurs, vous l'avez oublié, par la seule force d'un choix de se nourrir alors que ce qui est, est écrit par mes soins...
La poésie, est une chose étrangère aux morts, la poésie demande beaucoup plus d'éfforts que traire les tétines d'une vache pour faire du fromage, ainsi, je le leur dirais, que vous puissiez en être témoin, d'insultes à votre égard, non pas un ou deux, mais certainement autant qui puissent être encore oublié devant une telle chose : le sang.

Nous parlions de canards, de choses puantes, d'oublis, de gens qui s'échappent, même moi, de choses étrangères oubliés ici et là, un peu partout en somme; de mon temps, nous pensions que dans votre état, il fût un oubli de rester en vie...
Nous parlions des miettes sur le canapé, oui, des chips molles que nous devions jeter, des bouteilles malodorantes qui provoquent de nouvelles nausées, des morceaux de pizzas a peine entamées, de cette marque sur le sol à côté de l'évier, quel mariage !
Alors le goût ou la couleur ?
Presque, vous ne seriez de mon sexe, que d'avoir lu ce mot là, alors, un jour, je vous rappellerai, le chant de cet oiseau aquatique, qui peut nager comme une chip peut vous étrangler, et vous poser là, de ce que vous ne voulez pas vous souvenir. Je discute du goût pas de moi, ni de vous ?
Nous avions mangé pizza, à pâte fine, et peu de décorations et par politesse, je me suis assis un peu avec hésitation, et ainsi, le poltergeist de la soirée fût de bon goût, un parfum adorable et touchant, une odeur délicate qui me réveilla d'un profond sommeil cet autre jour, où je rêvais de mouettes, de déserts, de nomades et de personnes les observant à vols d'oiseaux, de milliers d'oiseaux une nouvelle fois...Alors celui qui ne sût si j'avais fait, il y a des années, nous sommes aujourd'hui en présence de ma divine écriture pour vous rappeller que mes petits amis volatiles, communiquent entre eux, et que vos destinées sont ainsi lié à une chose étrangère, communément appellé de mauvais goût...
Et nous vous avons oublié, car il était détestable de vous avoir senti, alors que ce parfum, je ne l'oublierai pas, et que vous ne verrez jamais qui elle était de nous être baisés.
Amis, amies surtout, j'ai envie de l'embrasser à nouveau pour sentir encore son parfum délicat et envoûtant, que je suis seul à sentir, à provoquer, à avoir respiré...sans jalousies aucunes vous en conviendrez...Elles savaient, et je suis maître à nouveau.