11.24.2009

Préliminaires de douceurs.



Les relativités de l'Art et de la Vie, aussi bien sous une forme qu'une autre, sont des bouts de papier qu'on croit avoir oublié, en damnant le si j'avais su de vouloir avoir fait mieux avant la date fatidique de l'effort supplémentaire de compensation. Mais il n'est de problématique diverse à considérer autre chose que le vol subit même consciemment par le refus de la douleur de la majorité de l'usufruit au profit. L'appréciation paraît difficile dès lors qu'on étudie une chose, et c'est le profit du pauvre à vouloir tout, tout de suite car les dettes sont plus lourdes ensuite, question d'intimité d'autrui et de respect à la personne qui fait un don de valorisation. Ainsi, la publicité propose un lieu de rencontre artificiel où tout peut s'acheter, où tout peut se vendre, comme les opinions d'un tel ou d'une telle qui ne s'écoutent parfois pas ou parfois abusivement. L'ego de chacun se flatte de sa propre réussite en matière, et consciencieusement avoue se méprendre sur autrui le plus souvent, et ainsi les modes font état de dégénérescence, autant que puisse être un status d'initiateur, où de formes, les raisons personnelles sont intimistes.

Donc, il existe la valeur de soi, et la valeur de l'appreciation de la matière, et chacun en a une opinion personnelle; la problématique est induite dans le courant de pensée relativiste sous-jacent à la création, d'où la frustation de ne pouvoir apprendre aux autres aussi facilement qu'un beau matin, une pensée redore toute notre fierté. Le problème du commerce commence à peine à faire jalousies quant à la facilité de certains à diffuser, créer des choses que l'on critique. C'est pourtant pas bien compliqué de vendre une chose, mais quant à l'Art, nous devons connaître l'essence même d'une chose pour la valoriser par l'esprit, en tant qu'artiste, ou en tant que marchands schizophrènes de publicités. Il est criticable de considérer des applications fonctionnelles relatives à un médium comme de l'Art dans la mesure ou la valeur propre est algorithmique donc oubliée à notre époque, et ne favorisant que la compréhension du reste flou et inadapté au loisirs ou occupations de certains qui finnissent par se croire privilégiés par opposition à la haine de ceux qui refoulent leur incapacité à s'exprimer, à se valoriser d'une chose ou d'une autre.

Propre à la matière, la conscience d'un créateur ne se perd qu'en état de sa «chose», et ainsi il est mis en valeur de sa productivité même restreinte à une boucle infini de vermines lui ayant tout volé. On ose un jour une chose qui nous effraie, mais la honte n'est que le reflet d'autrui en abus de perpléxités diverses et médisantes, sinon elle n'existerait pas. Personnifier l'âme par les reflets faussés des perversions d'autrui est une chose fausse et illogique dans tous les cas, c'est démontrable par la logique entière, et quant au refus d'acceptation des erreurs des mauvaises gens, il ne s'agit que de proposition fausse, donc l'évaluation de l'âme est identitaire et personnelle. Autrement dit, il s'agit d'un concept algorithmique sur sa propre influence. On appelle rayonnement le champs de partage artistique qui ne se reflète pas sinon sur la notion de consommation ou de public.

Se perdre dans des raisonnements obscurs est source de grandes confusions autant que les itinéraires aient pu être favorables à autant d'indécisions. Ce sont deux choses différentes. La confusion étant un état sensible propre à chacun pour favoriser la compréhension d'une erreur. Il s'agit donc d'un abus ou résidu de sciences à comprendre la psychanalyse alors que les mots suffisent à décrire des concepts de balises étatiques et de recherche de soi. Donc, il n'existe pas de maladies mentales mais uniquement des attardements mentaux ou des abus de masse, dans des mesures d'associativités et de non respect essentiel des lois; d'où la valorisation du sacré, il vient de choisir des Arts pour balises accessibles à tous par la présence d'une autorité en matière d'Art, par négation du profit personnel, au nom de tous dans la parfaite conformité de l'excellence. Une dégénérescence est de considérer un procédé de désintrégration relatif, dont la science à ce jour n'explique pas même le procédé.

De balises plurielles et clairement définies, nous jouissons d'un profit d'atteindre le même objectif sans clairement l'avoir obtenu définitivement, se perdre dans ses dédales et offrir une vision essentielle de l'Art d'exister en sachant transposer ce profit inestimable sur une toile, ou en musique, pour un bref instant d'éternité. Et c'est la mesure de ce temps qui passe finalement, dans la connaissance qui valorise une oeuvre, autant donc, que l'usage du procédé dans l'application d'un ou de motifs. Aussi, le peintre scientifique aura plus de chance de se voir Créateur en vertu des ages et des inventions relatives aux autres Arts. Le propre de l'Art culinaire des hommes préhistoriques est de se nourrir en se glorifiant sur des peintures parfois grotesques peut-être et ainsi, exister avec les âges, d'où, l'inestimable nourriture foison des futurs plaisirs, et jouissance des descendants à se nourrir d'autant.