9.08.2009

Epiphanies.

Elle pris sa plume, et m'écrit une lettre enflammée. Une lettre que j'ai perdue malheureusement, mais je sais que tout qu'elle pu avouer était vrai. Mais quel secret se cachait derrière cette attention pour quelqu'un d'autre que moi ? Que venaient faire mes parents dans la quantité phénoménale de ses sécrétions ? Alors, avant-hier, dix ans après les faits, j'ai failli prendre la décision de demander une lecture. J'espère au moins qu'elle compris, que la psychologie de bas niveau ne m'intéressait pas. Alors ne sachant pas, je n'attendrais pas plus longtemps, de toute façon, elle me restera fidèle, comme un ami canin, aucun n'a fuit, aucun n'a disparu par lui-même, et ma fille, du moins ce que j'espère au devenir d'une femme, puisse reconnaitre que j'eus évidemment oublié entre-temps. Bien que l'obscurité de nos pas soit relative à une forme hyperboloïde de "plat" du pied, nous devons reconnaitre qu'une feuille peut être remplacée, et ce ne fus que hontes, et désespoir de prétendre à filiation avec ces gens qui gardaient jalousement un tel acte de dévotion. Car même ma fille est plus jeune que du papier, alors nous changeons les erreurs peut-être du passé de toute façon oubliées, même si j'eu la chance d'être totalement ou quasi totalement moi-même tout le long de ma vie. Une essence d'obscurité, et un rire sournois de démons, car je fus encore une fois sous l'emprise de ses sécrétions, car je ne pu jamais être abusé que par moi-même, c'est une évidence, alors, même elle, cette femme qui est devenue aussi belle, m'a aimé, comme toutes ces autres femmes, que parfois même je ne connaissais pas. Car je n'aime pas ces gens qui prétendent être mes parents. Je suis un inconnu incorrigible. Je pensais que les choses pouvait se faire plus vite, car il devient lassant de s'oublier parfois, en se forçant à dormir d'ennui. Nos amusements restent presque entièrement les nostres, pour parler le vieux langage digne des temps oublié d'avoir ériger autant de plaques de ciments, d'autant de pigeons s'oubliant et oubliant même qui ils étaient ! Je pense que même un marquisat ici peut être oublié d'un geste désespéré, alors nous avons oeuvré, comme des véritables Êtres et tout n'a jamais été que leurs attardements de se refuser même le droit de penser jusqu'à me lire. Alors j'ai laissé de côté non pas une noblesse, mais permis d'élever mon esprit à une Création plus grande, et ainsi nous avons démontré que je ne sois pas le seul qui puisse l'avoir été autant de cette haine qui rongerai même les plus jeunes si ceux-là même étaient entendus...Je suis dorénavant un Prince heureux mais souffrant, toujours dans l'âme de ceux qui me lisent. Je ne fais plus de politique depuis mes dernières économies...Mon Dieu ! Quelle immondice de m'accuser de tous ces maux, n'y pensez même pas !


Nos Armes aussi, sont terminées, Belzebuth, et toutes nos armées aux firmaments !

Sachez que même l'emploie du nom de celui dont on se souvient d'être mort sans qu'on l'eu souhaité, autant qu'il puisse avoir été même difforme, ou malade, n'est qu'un stratagème, et que vous n'avez jamais senti ne serait-ce que son apogé, ses joies et ces larmes, car ainsi fait de mon sang aussi, il n'est qu'un rêve éveillé.

Les haines ne se reconnaissent pas avec moi autant que vous puissiez le savoir autant que vos Belzebuth(s), gens, nous nuisent, autant que mon courroux ne fut jamais sensible.
Je ne signerai autant que pour ce faire d'un nom étranger, mes oeuvres scientifiques, que vous intègrerai si vous le souhaitez, mais j'ai eu mes choix, que vous avez nié, malgré la leucémie que j'ai évité seul.
Je suis Archange, et non Mage, mais je présume avoir apporté toute l'aide que j'ai souhaité, de mon status officiel de Mage ou Maître Mages.

Je connais tous les algorithmes, mais je vous laisse la liberté de les découvrir, car nous appartenons à la même espèce.
Lizbeth ne s'en alla jamais au bois pour boire à la source, c'est humiliant pour une fille aussi prûde d'exiger autant d'ombres à côté de cette fontaine.